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Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux, louange à Allah, et paix et bénédiction sur Son messager.
Je rappelle au début de cet épisode que mon intention par ce programme est de faire de nos foyers des paradis terrestres… Par Allah je voudrais rentrer au Paradis par la guidance à travers ce programme d’un jeune homme ou d’une jeune fille, par le retour d’une famille vers son Seigneur.
Nous traitons du thème de la consommation de drogue par les jeunes depuis déjà deux épisodes. Nous avons vu les exemples que le jeune Yasser a donnés, de ces jeunes gens morts dans le désert, et ce jeune garçon qui a dérobé et menacé sa propre famille… De véritables drames.
Je vous confie que je suis affligé par les statistiques :
v Il y a 20 millions de toxicomanes dans nos pays, un chiffre démenti par certains mais des organisations internationales prétendent qu’il est même inférieur à l’état réel des choses. A notre niveau nous ne pouvons pas trancher quant à l’exactitude de cette statistique, mais 20 millions est un chiffre effrayant, en ne parlant là que de toxicomanes dépendants, les toxicomanes qui consomment la drogue occasionnellement ne sont pas concernés par la statistique.
v 15% des étudiants universitaires des pays du Golfe sont des toxicomanes dépendants.
v 19% des lycéennes d’un pays arabe sont des toxicomanes dépendantes. C’est dire que la question de la drogue n’est plus désormais un problème qui touche uniquement les garçons.
v Dans certains pays arabes un jeune sur dix est toxicomane dépendant, et un jeune sur sept a consommé au moins une fois de la drogue.
v Des centaines de jeunes sont obligés de prendre de la drogue pour être acceptés par un clan… des clans de toxicomanes.
v Selon une statistique il y a au moins un drogué par quartier dans nos pays
Des millions de familles sont dans la détresse, désarmées en voyant l’avenir de leurs enfants détruit à cause de ce fléau. Des milliers de jeunes savent que leurs amis se droguent et ne tentent rien pour les sauver. Et si vous ne croyez pas ces chiffres, demandez à des jeunes autour de vous, dans les universités, et voyez leurs réponses.
Il y a quelques semaines la revue britannique « The Guardian » a publié qu’en cette année 2008 le monde arabe sera inondé par une quantité énorme de drogue en provenance d’Afghanistan qui augmente sa production. Car vu la situation de guerre que ce pays vit, les efforts s’orientent non plus vers la guerre contre la drogue, mais vers des questions politiques et militaires. La drogue passera malheureusement par des pays frappés eux aussi par la guerre tels que l’Iraq.
Cette hausse de l’offre réduira indéniablement les prix et donc augmentera la consommation. Chaque immeuble et non plus seulement chaque quartier comptera des drogués. Et si l’on volait des rétroviseurs ou des postes de radios l’on cambriolera les maisons.
La dernière attente de la Oumma, son ultime richesse se dilapide, quel espoir reste-t-il pour une renaissance, il n’y aura qu’effondrement et ruine.
Ils vous attaqueront jusque chez vous ou pire ils seront des membres de vos familles.
Il est vrai que le monde entier est frappé par ce fléau mais en occident il y a des programmes d’information qui incitent les toxicomanes à entamer la désintoxication, des plans nationaux sont établis, des budgets sont consacrés dans ce but. En Angleterre chaque semaine 1000 personnes entament le traitement. Certes, de nouvelles personnes passent à la toxicomanie vu l’offre, mais les campagnes de sensibilisation sont efficaces et permettent de maintenir un certain équilibre, il existe des centres spécialisés dont certains offrent même des prestations gratuites.
Dans nos pays - si centres il y a - les pauvres y sont maltraités, ils en sortent encore plus déterminés à se droguer. Et même les riches risquent de ne pas trouver de places disponibles.
Il est vrai qu’après la cure, le rétablissement n’est pas totale, mais le toxicomane peut fonder un foyer, exercer une fonction et mener une vie normale.
Dans nos pays nous prétextons ne pas avoir les moyens financiers, mais des fortunes ne sont-elles dépensées pour la lutte contre les crimes directement liés à la toxicomanie ?! N’est-il pas plus sage de consacrer une partie de ce budget pour la création de centres ?
Année après année le nombre des drogués se multiplie dans nos pays et personne ne se soumet au traitement.
A travers les prochains épisodes et en tant que société civile nous lançons une campagne dont le slogan est : « entamez le programme de traitement ». Mais dans l’épisode d’aujourd’hui j’exposerai -comme dans celui du mariage sous seing privé- deux situations sur lesquelles nous tiendrons le débat lors de l’émission ainsi que sur le site
www.amrkhaled.net. Nous communiquerons les résultats du débat aux médias, il faut en faire une question d’actualité. Et à partir du prochain épisode nous déclarerons la campagne ouverte et nous révèlerons la solution des cas exposés aujourd’hui.
Avant d’exposer les deux cas de figures je voudrais rappeler que lorsque nous avons abordé la question de l’amitié, nous avons conclu qu’un mauvais ami compromet votre avenir, vous fait rompre vos liens de famille et vous détourne du chemin d’Allah. Nous avons dit qu’il fallait le quitter le temps de vous raffermir sur le droit chemin avec un autre groupe de bons éléments, ensuite revenir à lui et, avec l’aide de ces derniers, le guider vers le bon chemin.
A la lumière de ce rappel et de ce que nous avons dit au début de cet épisode sur les toxicomanes voyons nos cas de figures.
1er cas : (vécu –j’en suis persuadé- par la plupart des jeunes). Un ami vous fait connaître un jeune homme gentil, serviable, docile. Vous devenez de grands amis mais vous découvrez un jour qu’il se drogue et que celui qui vous l’a fait connaître -avec d’autres copains- a déjà essayé de le convaincre de la nécessité de commencer une cure. Toutes les tentatives ayant été vaines avec lui, ils ont fini par déduire que son cas est désespéré…
Quatre attitudes sont possibles :
- Couper immédiatement votre relation avec lui parce qu’il se drogue et que ses amis qui sont supposés plus proches de lui que vous ont échoué à le tirer de cela.
- Refuser de le quitter et se remémorer le hadith, « Allah vient en aide à celui qui aide son prochain », vous tenterez à votre tour et à votre manière, et sans relâche de le convaincre de commencer le traitement.
- Prendre contact avec sa famille pour joindre vos efforts aux leurs afin de le persuader d’entamer la cure.
- Réduire la relation à son minimum et s’enquérir de ses nouvelles de temps à autre pour se protéger contre son influence possible sur vous d’un côté, et maintenir des liens superficiels qui pourraient rétablir vos rapports s’il vient à changer.
Voici les résultats du choix de l’assistance :
v Aucune personne de l’assistance n’a choisi le premier cas.
v 8 personnes ont choisi le second cas.
v 18 ont préféré le choix numéro 3.
v Et enfin 5 ont fait le choix numéro 4.
Nous allons à présent écouter les arguments d’intervenants de la salle mais nous garderons notre réponse pour le prochain épisode.
Mais voyons avant cela -à propos du choix numéro 1- un spot fait en occident, un film de 10 secondes seulement, il incite les jeunes à se tourner vers leurs amis pour les aider. Le film montre une jeune fille qui se noie dans une rivière et appelle au secours. Son amie au bord de la rivière, les mains dans les poches, est peinée de ce qui arrive mais finit par tourner le dos et s’en aller. A la fin du spot un message écrit dit « faites quelque chose ».
Ce film et bien d’autres efforts essayent de persuader les jeunes de se secouer pour aider leurs congénères. Je suis heureux que les jeunes ici présents n’aient pas eu besoin de cela et qu’ils aient refusé d’eux-mêmes le premier choix.
Je voudrais écouter un intervenant parmi ceux qui ont fait le premier choix :
- Le premier : “Je pense qu’il ne faut pas abandonner son ami, mais qu’au contraire il faut tenter de l’aider et bien que j’aie choisi le 2ème cas je pense qu’il serait sage de collaborer avec ses proches.”
- Le deuxième : “Moi je pense qu’il vaudrait mieux étudier les efforts de ceux qui m’ont précédé pour commencer de là où ils ont arrêté, c'est-à-dire tenter d’autres méthodes que celles auxquelles ils ont eu recours.”
- M. Amr Khaled : “Je vous dirais que vous courrez le risque de glisser vous-même dans son chemin et que rien ne garantit que vous serez assez forts pour résister à son influence.”
- Le troisième : “Je ne suis pas totalement d’accord avec le cas 2 car tout dépend de la personnalité de ce jeune drogué. Si je sens qu’il peut m’entraîner, je me rétracte mais si au contraire je sens que je peux avoir de l’ascendant sur lui malgré la courte durée de notre amitié, là oui, j’intensifie mes efforts.”
- Le quatrième : “Je pense que le mieux est de prendre les attitudes 2, 3 et 4 dans l’ordre, si la première s’avère vaine je passe à la seconde si celle-ci non plus ne donne pas de résultat alors je choisirais la troisième.”
- M Amr Khaled : Ecoutons maintenant un intervenant qui aurait fait le 3ème choix :
- Le cinquième : “Moi je pense que le choix numéro 3 est le meilleur car la question de drogue est compliquée et nécessite la conjugaison des efforts des uns et des autres (des amis et de la famille), d’autant plus que d’autres amis ont essayé isolément.”
- M. Amr Khaled : “Je conteste le choix numéro 3, car il m’est difficile de croire que des jeunes gens iraient proposer leur collaboration à la famille et dresser un plan unifié pour l’intérêt du jeune homme en question !!!”
- Un sixième : “Il faut qu’il en soit ainsi car le problème ne peut avoir de solution par des actions individuelles. Des personnes ont même commencé des cures mais vu que les familles n’étaient pas impliquées ; au sortir des centres de désintoxication, elles ont rechuté. Je dirais même qu’après la cure l’on a plus besoin des proches et des amis. ”
- Un septième : “J’opte pour le troisième choix car le langage des sentiments a une place importante dans le traitement, les expressions d’amour de la part d’une mère ont un effet nettement plus grand que celui d’un ami. ”
- Un huitième : “Le choix numéro 3 parle d’un individu parfait, le héro d’un beau roman intitulé « le défi ». Contacter la famille, les amis, établir un plan étudié, cela donnerait sans nul doute des résultats positifs. Mais cette personne existe-t-elle réellement ? S’il pouvait y avoir 1000 personnes de cette qualité dans chaque pays arabe toutes les statistiques s’inverseraient, si elle existe je serais heureux de la connaître pour collaborer avec elle.
M. Amr Khaled : Je voudrais déclarer à l’occasion de ce que vous venez de dire que la campagne que nous lançons à travers cet épisode et qui vise à motiver nos jeunes toxicomanes à rejoindre des centres de désintoxication est une campagne qui associe cinq grands partenaires : Right Start dont je suis un des secrétaires, la police de Dubaï, l’ONU, l’OMS, la fondation Mentor de lutte contre les stupéfiants, ainsi que 1000 jeunes gens de tous les pays arabes organisés dans des groupes du nom de « protecteurs de l’avenir », ils sont certifiés par l’ONU avoir suivi des formations dans l’intervention auprès des toxicomanes, c’est pour vous dire que cette personne « idéale » du 3ème choix existe. Mais sans la contribution des amis du patient -qui sont appelés à en faire autant- elle ne peut obtenir des résultats intéressants.
Tous ceux qui veulent contacter les « protecteurs de l’avenir » pour commencer un traitement trouveront leurs coordonnées sur le site
www.amrkhaled.net.
- Le neuvième : “Si nous abordons une question en la considérant un problème cela est susceptible de nous décourager mais si nous l’abordons en tant que défi, elle sera abordée avec positivité. La consommation de drogue est un des symptômes d’une maladie dont les causes doivent être recherchées et traitées pour contrecarrer les échecs des tentatives précédentes. La clef du défi est de changer les convictions du toxicomane qui croit que son cas est désespéré, et qu’aucun effort ne le tirera de là.
M. Amr Khaled : Je maintiens l’idée que c’est une maladie, une maladie chronique, mais curable. Et pensez combien serait grande la rétribution d’un effort qui arrive à persuader le toxicomane à commencer une cure sans laquelle son état évoluerait vers le pire. Allah – soit-Il Béni – dit : « … Et quiconque lui fait don de la vie, c’est comme s’il faisait don de la vie à tous les hommes… » (’ (La Table servie) : 32)
La drogue est un drame que vivent des millions de familles arabes, des familles livrées à elles-mêmes. Des jeunes que personne n’oriente vers les traitements et de plus en plus jeunes glissent vers la drogue mais aucun n’est sauvé. La courbe est en croissance gigantesque, car personne n’a établi de plan d’action, de programmes de cures pour cerner ce fléau.
Avec la contribution de nos partenaires et les 1000 jeunes « protecteurs de l’avenir » nous sommes certifiés pour des interventions auprès des toxicomanes. Nous pouvons faire quelque chose avec la collaboration des « Bâtisseurs de la vie » et toute la société civile : commencer une campagne générale qui englobe tous les pays arabes.
Les cinq prochains épisodes nous lancerons des appels pour sensibiliser 5000 toxicomanes à aller un pas vers le traitement. Nous verrons dans ces épisodes comment amorcer la campagne, comment joindre les centres de désintoxication comment entamer la cure, nous verrons tous les détails de la question.
Aujourd’hui nous exposons le problème et approchons la campagne en vous montrant ces scènes, et posons la question : « Allons-nous abandonner nos enfants, nos amis, nos collègues, nos voisins toxicomanes ???? Nous attendons les interventions du grand public sur le forum de
www.amrkhaled.net pour susciter une attitude sociale.
Qui voudrait argumenter le 4ème choix ?
- Un intervenant : “M’occuper d’une personne toxicomane prendrait obligatoirement beaucoup de temps que je ne suis pas prête à gaspiller. Je garderais en effet une relation superficielle mais je préfère occuper mon temps par quelque chose de plus fructueux.”
- Un autre : “Allah dit, « Allah ne modifie point l’état d’un peuple, tant que les [individus qui le composent] ne modifient pas ce qui est en eux-mêmes » (Ar-Ra’d (Le Tonnerre) :11) s’il refuse de changer, je ne pense pas que je réussirai, moi, à le changer.
- M. Amr Khaled : “Mais ne faut-il pas le considérer comme un malade ? Ce n’est quand même pas un criminel !! Il a été fautif et a mérité d’être jugé en tant que tel, au moment où il a accepté de commencer à se droguer, mais maintenant qu’il est pris dans le cercle de la dépendance à la drogue il est malade, la balance chimique dans sa tête est déréglée, il ne sait pas se tirer de là, il ne sait pas « changer ce qui est en lui ». Les 20 millions de toxicomanes ne savent pas « changer » et requièrent une aide extérieure pour y parvenir.”
- Un intervenant : “Je choisis la quatrième solution parce que la deuxième et la troisième ne fonctionnent pas dans la pratique. Dans la deuxième, mes répétitions feront que le malade ne voudra plus m’entendre. Dans la troisième, si je vais dire à ses parents, il ne voudra plus de mon amitié et me repoussera.”
- M. Amr Khaled : Effectivement, si quelqu’un choisi la première solution, il doit toujours s’adresser au malade avec diplomatie et art pour ne pas être repoussé. Quelqu’un de ceux qui ont choisi la troisième solution aimerait répondre à cet argument ?”
- Un intervenant : “Premièrement, personne de tout le groupe qui se formera ne fera savoir au drogué qu’ils se sont mis d’accord pour agir, chacun aura un rôle à accomplir avec beaucoup de finesse.”
- Un autre jeune homme explique : “Il faut amener le dépendant à la drogue à vouloir guérir lui-même et demander de l’aide. ”
-
M. Amr Khaled : Nous arrêtons la discussion là et nous vous demandons de donner vos voix sur
www.amrkhaled.net pour le vote au sujet des solutions présentées plus haut.
Maintenant nous avons des cas de figure féminines et je n’invente pas de situations, ce que je présente a été réellement vécu. Je les prends des messages qui me viennent :
- Le premier cas est celui d’une jeune fille fiancée avec l’accord des deux familles à un jeune homme de bonne famille comme elle, nanti d’un bon emploi dans une firme multinationale et apprécié par ses supérieurs. Mais depuis deux mois, le caractère du garçon laisse apparaître un changement et ses employeurs ont commencé à faire des remarques à son sujet. Ce jeune homme est toujours agréable avec sa fiancée mais, après son interrogation, il a fini par lui avouer qu’il s’adonnait aux drogues et qu’il avait fortement besoin de l’aide de la fille. Si elle le délaisse, il s’enfoncera de plus en plus dans la drogue et son cas empirera. Quelle doit être la réaction de la fiancée ?
De nombreuses jeunes filles m’ont décrit des situations pareilles et me demandent conseil ne sachant que faire, aider leur fiancé ou l’abandonner après qu’il se soit laissé aller à ce mal. Je dis que dans ce cas, la jeune fille a quatre choix :
- Essayer de l’aider dans le secret sans rien dire aux familles et accepter le fait comme un décret du Destin.
- Essayer de l’aider, toujours dans le secret, mais en l’informant qu’il a six mois pour décider de se faire soigner, sinon elle coupe toute relation avec lui quelles que soient les conséquences.
- Comme dans la seconde solution, essayer de l’aider en l’informant qu’il a six mois pour décider de se faire soigner, sinon elle coupe toute relation avec lui quelles que soient les conséquences. Mais, informer ses parents à elle par respect pour eux.
- La jeune fille avoue tout à ses parents à elle et les laisse résoudre ce problème difficile avec leur expérience.
Parmi les assistants, aucun ne vote pour la première solution.
Cinq personnes choisissent la deuxième solution.
Seize choisissent la troisième solution.
Et six seulement votent pour la quatrième solution.
Nous demandons à tous ceux qui voient ce programme de nous envoyer leurs conseils pour les deux jeunes gens sur le site
www.amrkhaled.net et ceux qui n’ont pas l’Internet de nous appeler par téléphone. Il y aura également une adresse e.mail confidentiel que personne d’autre ne pourra lire à part moi ou un de mes aides conseillé social. N’importe qui, parent, jeune homme ou jeune fille, pourra me raconter son histoire au sujet des problèmes que nous traitons et attendre une réponse. Je vous prie seulement de n’y envoyer que ce qui vraiment ne peut être discuté en public.
J’annonce également le début de la campagne contre les drogues de la part de ces cinq associés : Right Start dont je suis un des secrétaires, la police de Dubaï, l’ONU, l’OMS, la fondation Mentor de lutte contre les stupéfiants. La campagne commence aujourd’hui même et vous trouverez sur le site
www.amrkhaled.net et
http://www.hemaya.ae/ des posters, des conseils et des clés pour faire reconnaître aux parents si leur enfant consomme des drogues ; des conseils aux jeunes pour amener leurs amis à se faire soigner. Vous y trouverez les situations mentionnées aujourd’hui et le questionnaire pour le vote sur les solutions à leur sujet. Vous y trouverez des idées que vous pourrez copier et distribuer partout, également 1000 jeunes gens que vous pourrez appeler au secours pour vous aider tel un ami dans un problème de drogue.
Nous voulons que durant les cinq semaines que durera cette campagne contre les drogues, amener 5000 toxicomanes à commencer à se faire soigner, c'est-à-dire 1000 par semaine. Un chiffre très difficile à atteindre, si je vous dis que depuis cinq ans, il n’y en a pas cinq mille qui ont commencé à se faire soigner, surtout parmi les pauvres où le programme qui leur est offert est très inefficace.
Nous nous sommes mis d’accord avec des centres sanitaires qui peuvent s’occuper de ces jeunes drogués et parmi lesquels certains seront sans frais. Que ceux qui veulent aider leur prochain et parvenir à l’agrément d’Allah en sauvant un être humain et en ramenant le bonheur dans une famille aille sur le site
www.amrkhaled.net et
http://www.hemaya.ae/ pour participer à notre campagne nommée « Hemaya (protection)». Vous trouverez beaucoup de détails sur le site et dans nos prochains épisodes pour vous aider à agir.
Accrochez partout les posters et annoncez partout notre campagne. Nous devons trouver une solution à ce fléau des drogues. Aidez-nous par amour pour Allah.